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cruche's life
7 avril 2009

badminton

Il est étonnant de voir à quel point taper dans un volant peut être amusant. Paf ! Paf ! Paf ! Lâcher des injures quand on le loupe, se réjouir quand c’est l’adversaire qui le loupe et recommencer. Je ne suis pas d’une nature très sportive mais pourtant, depuis que j’ai (re)découvert le badminton, je ne m’en passe plus. Jouer, ne pas s’arrêter, taper, encore et encore… La sueur coule dans la nuque, les muscles deviennent douloureux, la fatigue arrive mais… c’est booon ! Les grands sportifs doivent être masochistes pour aimer souffrir comme ça ! Je dois l’être un peu moi-même puisque je voudrais recommencer encore et toujours.
 Service. Le volant monte dans un mouvement gracieux, arrive à sa hauteur maximale et entame sa descente vers le terrain de l’adversaire. Bim ! Le choc de la frappe le fait retourner de là où il vient : il remonte lentement et arrivé à son point culminant redescend lentement pour être à nouveau frappé.

Le volant peut parfois être aussi un moyen de se venger, du moins métaphoriquement. Stressé, irrité, vexé, on peut l’associer à une personne qu’on ne supporte pas. On tape d’autant plus fort dans le volant, ça aide à se passer les nerfs, ça détend.
Comment ça c’est ignoble comme procédé ? Ne me dites pas que ça ne vous est jamais arrivé de vous passer les nerfs sur une balle ou tout autre objet assimilé comme étant le patron, la belle mère, l’ex-petit ami, le banquier, un prof…, je suis sûre que chacun à un jour fait ça !

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